Si t'aimes, Tu clics !


mardi 9 décembre 2014

Tony CASCARINO

Aujourd'hui, un buteur. Irlandais au nom Rital, il commence dans la vie comme coiffeur, puis maçon avant de signer pro à 19 piges en 3eme division. On est en 1981, et le bougre claque 78 pions en 6 années, et signe pour son club de coeur, le Milwall FC, connu pour ses supporters amoureux de la binouse et des bourre-pif. 3 ans, 49 claquettes et le voilà embarqué à Villa pour 15 millions de francs. On est 90'. Une bonne blessure et 11 pétards suivront. 91', l'exil classique du footeux anglais : l'Ecosse. Au Celtic, il marquera 4 misérables buts, puis 8 l'année d'après à Chelsea. En 93', c'est après la déchéance de l'affaire VA-OM, que Marseille lui permet de découvrir le soleil et la D2 Française. Bingo. Le flambeur Irlandais va péter 71 fois les filoches, rester 3 ans, et filer dans le froid Lorrain, à Nancy. 45 buts en 3 ans, une dernière pige ratée au Red Star et puis s'en va. 3 titres de champions de D2, entre France et Angleterre. Et un aveu de dopage sur fond de critiques des clubs Français. Tony Cascarino, faux rouquin vrai poivrot.

Une image pleine de grâce, du sang plein de doping.

samedi 25 octobre 2014

Edwin CONGO

Aujourd'hui, après de longs mois d'abstinence, on se focalise sur un buteur Colombien. Une terre qui aujourd'hui attire l'attention pour son vivier de talents, mais qui, il y a encore quelques années, était surtout connue pour ses mauvaises imitations de footballeur. Et soyons clair, notre ami du jour en fait clairement partie ! Car après des débits encourageants dans son club de Once Caldas, le voilà qui débarque, à 22 ans, en 99', au Real de Madrid. La même année que notre Nico la quenelle. Le voilà donc sans raison apparente, dans un des plus grands clubs du monde. Le flop est donc tout sauf surprenant. Ses prêts à Valladolid, puis Guimaraes sont nuls, et le voilà prêté à Toulouse, histoire de refaire la cerise. On est en 2001, et l'echec est tout aussi marquant. Il s'engage en 02' à Levante, à 26 ans. 112 matchs et 21 cahuètes plus tard, il signe à Gijon, plante 11 fois en 34 matchs, puis connaitre le Recreativo et un retour nullissime en Colombie. Il aura quand même canardé 3 fois en 17 sélections. Edwin Congo, Colombie.

Joker.












Désolé pour ces longs mois sans bananes footeuses, mais pas mal pris en ce moment !
A bientôt, et merci à tous ceux qui ont laissé des commentaires !

dimanche 10 août 2014

Mark WILLIAMS

Aujourd'hui, penchons-nous sur un buteur galerien, qui nous vient de Cape Town. Il a bourlingué comme un fou, de son Afsud où il débute, jusqu'à son premier pas en Europe. Le voilà en Belgique, en 93', du côté de Molenbeek. Pas de quoi rêver. Mais 2 saisons, 61 matchs et 17 pions plus tard, il a séduit les Wanderers de Wolverampthon. C'est un bide. 12 matchs, pas une cahuète. Pas grave, il file au Brésil, chez les Corinthians !Fin 96', il n'a joué que 3 matchs, pas de caramel, et prend penot le chemin du retour au pays de Nelson Mandela, ou Mark Fish, au choix :) Il se relance aux Kaizer Chiefs, et le voilà qui part pour une nouvelle expérience  : la Chine, où il va écumer 4 clubs entre 97' et 2002, scorer pas mal de fois dans un championnat aussi faible qu'une DH Lithuanienne, se faire un p'tit retour au pays via les Moroka Swallows, et bouclera sa carrière par un crochet au Sultanat de Brunei, pour le sportif bien entendu. Il aura joué sur 5 continents, marqué autant qu'un défenseur remplaçant, et porté le maillot de sa sélection. Mark Williams, intermittent de la patate.

Sans doute sa ressemblance avec Vampeta qui lui a permis de
jouer pour le Timao. 

samedi 2 août 2014

Paulo Roberto RINK

Aujourd'hui, un attaquant. Brésilien, formé à l'Atletico Mineiro, il est repéré par Leverkusen dès ses 23 ans. On est en 97, et le voilà qui chasse le but aux côté de Ulf . Mais notre coquin ne plante pas autant que l'espère ses dirigeants, qui voient des cadors claquer du pions en quantité industrielle dans la bundesliga. 52 matchs, 17 pépites. Un prêt s'impose. Le voilà à Santos, dans l'indifférence quasi générale. 12 matchs, pas une caouète. Retour la queue basse. Il refait une période de 2 ans et 52 matchs. Il est en progrès. Il score 18 fois. Halte au massacre. Il est prêté à Cottbus. 19 matchs, 3 pétards. C'est tout naturellement (ou pas) que les patrons de Cottbus le signe définitivement l'été suivant. Envie de perdre du pognon sans doute. 1 ans, 3 buts plus tard, il est expédié à Nicosie. Puis Arnhem, Hyundai, retour à Nicosie, sous 2 tuniques différentes, avant de sombrer à Paranaense. Non sans avoir chopé la nationalité Allemande et d'avoir porté le maillot aujourd'hui champion du monde. 13 fois. Pour aucun but bien sur. Paulo Rink -ompétent.

A defaut de marquer...

mardi 22 juillet 2014

Gabriel BATISTUTA

Aujourd'hui, c'est particulier. Entre tous ces bras cassés, ces estropiés du foot, javais envie de rendre hommage à un grand. Pour se rappeler qu'au milieu de se marasme de stats déprimantes, de défenseurs en carton et de gardiens peaux de pêche, il existe des très grands, qui rendent le foot facile, clinquant et mythique. Notre boulimique du but est un artiste du foot qui m'a émerveillé, et m'a ouvert les yeux sur la formation Argentine, la rigueur Italienne, et la classe sur un terrain. Formé aux Newell's, comme un certain Leo Messi, et Heinze, Balbo ou encore Samuel. Poli à River. Façonné à Boca.  En 91', il signe en Italie, à la Fiorentina. Il va péter 207 caouètes en 332 matchs, et rendre le maillot violet "nintendo" mythique. En 2000, il signe à la Roma, pour essayer de décrocher le titre. Bingo, sous Fabio Capello, il flingue à tout va, et soulève le trophée. Et rend le maillot romain kappa mythique. Après un passage vite fait à l'Inter, il va ouvrir un LDD au Quatar. Mais l'essentiel est ailleurs. Il a éclaboussé la serie A de sa classe, de sa grinta, et de son sens du but. Et l'Argentine, avec qui il marquera 56 fois en 78 sélections. Meilleur scoreur de tous les temps.
Merci, Gabriel Batistuta, pour m'avoir ouvert les yeux.  

2 maillots, même classe.

dimanche 20 juillet 2014

RUBENILSON Monteiro Ferreira

Aujourd'hui, sur une superbe proposition, on se farcit un buteur. Formé au Flamengo cher à Adriano, il file très vite sur le continent où le pognon coule à flots. Il débute pro au Standard de Liège entre gaufres et bouchons. Après 27 matchs en 3 ans, et le chiffre tonitruant de 1 but, il est expédié à Molenbeek. On est en 92', il a 20 ans, et le voilà face à son destin : scorer ou finir rmiste. Il s'en sort pas trop mal, est même convoqué chez les espoirs Belges grâce à son mariage, et décroche un beau contrat à Antwerp en 94'. 35 matchs et 5 buts plus tard, les Niçois, pas avares en transferts foireux se jette sur le bonhomme. C'est la consécration : 9 matchs, aucun but. Le voilà grillé en Europe. Pas grave, il prend l'avion pour la Corée du Sud, ne marque que 4 pions en 29 matchs, et 3 ans après, regagne le vieux continent via l'Israel, l'Espagne, la Roumanie et une fin en fond de Belgique. Nous tairons ses stats, par amour du foot... Rubenilson mais il a pas décroché.

Après les matchs, c'est lambada !





Merci à toi l'anonyme, pour ton commentaire et ta belle proposition !

jeudi 17 juillet 2014

Giovanni BIA

Aujourd'hui, on se penche sur un défenseur a la Dolce Vita. En effet, il vient s'ajouter à la longue liste des joueurs qui font une belle sans carrière grâce à un bon agent, à défaut d'un d'un bon talent... Bref, notre homme est formé à Parme, début à Pérouse et confirme à Cosenza qu'il n'est pas mauvais. On est en 93', l'OM à gagné le Milan en finale de Champion's mais a acheté son titre Français à Valenciennes. Et durant ces temps obscures, notre ami signe un contrat au Napoli. En 94', le voilà qui signe à l'Inter, durant un mercato qui verra des signatures de joueurs à la pelle du côté Nerazzuri. En 95', il débarque à Udine, puis Brescia et Bologne. Saison, 2001, le voilà qui traverse les Alpes pour se perdre à l'ASSE, en ligue 2. Il ira se finir un an plus tard à la Reggina, pour les pizzas sans doute. Pour remercier son agent, qui lui a quand même décroché une bonne dizaine de contrats dans sa carrière, il deviendra lui même agent de joueurs, Cigarini, Dessena ou encore Macheda lui ont confié leur destin. Giovanni Bia, joueur malgré lui.
Pas la même de signer à l'INTER ou à Sainté...




mercredi 16 juillet 2014

Richard Joseph "RICHIE" PARTRIDGE

Aujourd'hui, un milieu de poche. Irlandais, il est formé chez les Reds. A Liverpool, on croit en lui, on le forme et le prête a 2 reprises. Bristol, puis Coventry accueil le jeune, et il se fait remarquer en finissant meilleur jouer de son équipe en 2003. Il revient au bord de la Mersey gonflé à block. Mais en 2 ans, il ne goûte pas une seule fois à la premier league. Blessures, quand tu nous tiens. Sa carrière ne sera plus qu'une longue descente dans les divisions, les championnats, le calvaire. Malgré le fait qu'il soit le beauf' de Michael Owen, pas de cadeau. Il va enchaîner 8 clubs en 8 ans, des bas fonds Anglais aux tréfonds Gallois. Il a connu la sélection en -17 et -18. Et la convocation, sans jouer, du maillot national Irlandais. Bref, y'a que dans FM que Richie Partridge à connu la gloire.

Flotteur Boy



samedi 5 juillet 2014

Adrianho Vicardinho Chinese dit "ADRI"

Aujourd'hui, un buteur. Formé dans le 5eme arrondissement de Lyon comme un certain Umtiti, il confirme très vite dans les catégories jeunes. Il dezingue les filoches à tour de bras, et dézingues les gonzesses lors des soirées. Après deux belles années dans une équipe des Sporting Gones abonnée aux défaites, il signe un contrat en Estonie. Cet exil lui permet de découvrir les us et coutumes de la froide Estonie externe, mais muy caliente dans ses bars. Après un an, le voilà qui se lance un nouveau défi : la Chine et son milliard d'habitants seront à ses pieds. C'est à Shanghaï qu'il enfile les pions, avec son maillot orange sur le dos. Après plusieurs années, c'est un homme apaisé fait son retour aux Sporting Gones, avant de filer à Paris, pour de nouvelles aventures. Et aujourd'hui, c'est un péno qu'il doit frapper. Et a n'en point douter, c'est en force, sous la barre, qu'il va le transformer ;)

Un entrainement de plus...

mercredi 2 juillet 2014

Tony WARNER

Aujourd'hui, on reste chez les gardiens. Né et formé à Liverpool, notre ami choisira le pays de ses parents, Trinité et Tobago. Pour 2 sélections. Ce qui laisse déjà rêveur sur le niveau. Pro, en 94, il sera prêté 3 fois, mais ne s'imposera jamais chez les Reds. le voilà qui walk alone à Millwall, en 99', où il restera 5 ans et 200 matchs. En 2004, à 30 ans, il file à Cardiff, sera prêté à Fulham, puis dégage à Leeds. Sa carrière se résume déjà à des prêts à gogo, sur de très courtes durées, comme les aime les Brittons. En 2014, à 40 balais, il stop le tout, après avoir connu 20 contrats différents, et un passage à Malte et en Australie. Tony Warner, c'est pas du grand cinoche !

Tony ne rendais jamais les ballons.
Et piquait une crise quand on lui en prenait un !

jeudi 19 juin 2014

Peter RUFAI

Aujourd'hui, un gardien. Sans trop savoir pourquoi, ce dernier rempart m'a marqué lors de la World Cup aux USA. International Nigerian, il a connu l'Europe a 24 ans, en Belgique. A Lokeren, il fait ses classes, file 4 ans après à Beveren, puis ses retrouve aux Pays-Bas, aux Go Ahead Eagles, ce club de foot au nom de franchise Amerlok. Après un an, notre pote Africain, qui affiche déjà 31 piges, cumule à peine 20 matchs en Europe. C'est la crise de confiance, mais heureusement pour lui, son salut se trouve dans son nouveau club. A Farense, au portugal, il retrouve soleil, confiance, et titularisation. 62 matchs en 3 ans, et en 97, il saisit sa chance pour jouer en Liga, a Hercules. Enfin, en segunda liga, hein. 10 matchs, puis le gros club se pointe : le SuperDepor, où il sera doublure, 2 ans durant. En 99, après 1 seul match à Gil Vicente, il range les gants peaux de pêche, à 37 piges. Peter Rufaï dans la defense.

A ses débuts.
A moins que ce ne soit le défunt roi de la pop.
You are not alone.

vendredi 6 juin 2014

LES FOOTMANIACS

Aujourd'hui, c'est un peu spécial. On se penche sur une BD de foot qui ravira les fondus des bulles et de la gonfle. Année de coupe du Monde au Brésil, année de Guingamp en coupe, d' Evian en sauvetage contre tous, en Jordan Ayew en faux sauveur Lionceau et de l'ASSE presque en Champion's. Bref, une belle saison de foot pour nos yeux français, habitués par le passé à toutes ces buses que vous trouvez ici ! Et cette fin de saison, c'est aussi la sortie du tome 12 des FOOTMANIACS. Prenez le temps de dévorer cette BD entre 2 annonces du transfert de Jardel à l'OM, de Messi à Paris et de Mourinho qui gueule contre les encores plus riches que lui. Bref, un bel été en perspectives...

Marcel Tatannes Vuvuzela. Le trio gagnant.

jeudi 5 juin 2014

Henry MAKINWA

Aujourd'hui, c'est un bel exemple que tout le monde a sa place dans le monde professionnel du football. Buteur, notre homme en est un. Sur le papier. Parce que ses stats font plutôt de lui un gardien. En effet, après une belle saison dans son pays d'origine, le Nigeria, il file en Espagne, en 97'. Il a 20 ans, et s'embarque dans une carrière qui va lui faire voir 17 clubs dans 11 pays différents. Dans le désordre :  Espagne, Portugal, Egypte, Chypre, Israel, Chine, Ecosse, Roumanie, Nigeria, Indonésie, Malte. La marque imparable d'un niveau douteux, certifié par ses 28 buts hors de son pays, en 184 matchs. Soit un ratio vomitif de 1 but tous les 7 matchs. Henry Makinwa -t else ?

Ne vous méprenez pas. Il est juste remplacé par son coach.
Mais pour lui, c'est du bonheur !

dimanche 1 juin 2014

Ted Kelton AGASSON

Aujourd'hui, un milieu Martiniquais. Des débuts en Ile-de-France, au sein du mythique Red Star cher à Steve Marlet. On est en 93', dans le 93, et notre Caribéen est à la fête : 6 ans de bons et loyaux services dans les bas fonds, 168 matchs et 35 patates. En 99', il file vers le professionnalisme à Lille. Dans le ch'nord, il va connaitre ligue 1, Coach Vahid et désillusions. 2 ans, 49 matchs et le transfert qui fait péter une carrière à
St-Etienne. 3 matchs plus tard, il file en 2002, dans le plus stricte anonymat, au Sc Farense, Portugal. Une saison de 23 matchs dans les chaussettes et c'est au CD Aves qu'il s'engage. C'est la fin de son aventure pro. Il s'en ira par la suite se morfondre dans différents clubs amateurs du nord et francilien. Ted Kelton Agasson, tennisman dans le nom.

Ted et son spécial trick "coup de nuque"

mardi 27 mai 2014

Christian POUGA

Aujourd'hui, attaquant camerounais. Comme beaucoup de ses compatriotes, il travail comme un chinois pour mêler ses études et ses entraînements. Il n'hésite pas à courir aux aurores, et ce travail va finir par payer. Le voilà recruté par les dirigeants du Dalian Shide, en Chine donc. Quoi de plus normal pour ce travailleur sans répit ? Il finit sa formation là-bas, et commence à jouer en 2004, à 18 ans. Il claque 21 pétards en 40 matchs, et file en 2006 à Zurich. Il ne le sait pas encore, mais il est parti pour un joli périple à travers la planète foot. Après 1 an mitigé, il file à Bellinzone, puis s'engage avec la réserve du FC Séville, puis Leixoes au pays de Cristiano, puis Vaslui chez les Roumains, Maritimo pour son retour au Portugal, et la Belgique, où il va connaitre 2 clubs en 1 an. 2013, après avoir changé de tunique chaque année depuis 9 ans, il se pose à Ankara, chez les rois du kebabs, où il ne joue pas. Christian Pouga lère.

Les gardiens avaient peur. 

jeudi 22 mai 2014

Selim BEN ACHOUR

Aujourd'hui, retour sur une sale période Parisienne. Une période où le pognon ne poussait pas sous les oreillers, où les présidents s’enchaînaient, où l'on voulait reconstruire le club sur des mecs des quartiers. Cette période voyait également un p'tit mec issu de l'INF Clairefontaine devenir en quelque sorte l'espoir du Parc, le futur, le renouveau. Notre bonhomme du jour est donc milieu offensif, et après des prêts à Martigues et Troyes, le voilà qui prend position au Parc des Princes. Il jouera une quarantaine de matchs en 2 ans, mais les déconvenues  régulières du club de la capitale, en plus de son faible niveau, auront raison de son club de coeur. Pas grave, il entame un raod-trip dont seuls les joueurs bas de gamme ont le secret. Guimaraes, Rubin Kazan, Al Quadisiya (Koweit), Malaga, Maritimo, Nicosie. Une vingtaine de matchs à chaque fois, 3-4 buts par-ci, par-là. Selim Ben Achour, petit prince restera petit.

Gabi se  fout de sa gueule en plein match.

mercredi 21 mai 2014

Benjamin "BENJANI" MWARUWARI

Aujourd'hui, on part sur la trace d'un striker devant l'éternel. Un as du filoche, un maître des patates. Ou pas. Le mec est Zimbabwéen, et débute pro en Afsud, du côté des Jomo Cosmos. Il plante régulièrement, et file comme tout bon joueur Africain en Europe. Le voilà en 2001 en Suisse, chez les sauterelles de Zurich. Il a 22 ans, joue 25 matchs et plante 1 but. Oui, un seul. Mais c'est pas des stats de buteur des fonds de tiroirs qui vont rebuter l'ami Roux. Toujours avide d'un coup financier, il signe le gai luron en se frottant les mains. Il va jouer 110 fois, jusqu'en 2006, pour les Bourguignons, planter 29 cahuètes, soit 0.26 but par match, courir comme une antilope et découvrir les vinnasses du pays Auxerrois. En Janvier 2006, comme tout attaquant très moyen de Ligue 1 qui se respecte, il signe en Angleterre. Portsmouth le fera jouer 2 ans, 79 matchs, et lui inscrira 19 pétards. En 2008, c'est Sven-Goran le nikeur fou qui le signe à Man City. 31 matchs et 7 pions plus tard, en 2010, il va connaitre un prêt vierge de tout but à Sunderland, puis 21 matchs et 3 caramels à Blackburn, pour un come-back foiré à Pompey avec 1 pion en 18 matchs. Fin de l'histoire Anglaise. Il errera dans 2 clubs d'Afrique du sud et ciao l'artiste ! Benjani passeur ni buteur.

Qui est qui ? 

dimanche 11 mai 2014

Eduardo OLIVEIRA

Aujourd'hui, on met le cap au pays de la samba. Notre ami est défenseur central, et il a vite compris que les pépètes se trouvent sur le vieux continent. Il file dès ses 20 ans dans le 1er vol pour l'Europe. Et le voilà qui trouve un contrat jeune en Corse, du côté de l'Ile Rousse, en CFA ! 2 saisons lui suffisent pour se faire remarquer par la grande D1. Et c'est à Martigues, alors encore dans le gotha du foot français, que le bougre se pose. Il joue très peu, et file 1 an après, en 95', à Istres, en National. Il y joue 2 saisons, puis, va découvrir son club de coeur : le CSSA, Sedan pour les plus jeunes. Chez les Sangliers, il va connaitre les montées successives, de national à la ligue 1. Avec ses compères Sachy et Di Rocco, il détonne, chasse les tibias et saccage les chevilles sur le champs de patates Ardennais. En 2001, après 4 belles années, il tente l'ASSE, mais ses coups de sang et innombrables cartons auront raison de lui. Un prêt foireux à Leiria, 3 saisons médiocres à Brest, et une fin à Saumur, avant d'enfiler le costume d’entraîneur, dans les bas fonds, évidemment... Eduardo Oliveira, faucheur brasilou.

Tremblez pauvres chevilles, genou ou autres carotides ! 

samedi 10 mai 2014

Uche AGBO

Aujourd'hui, un milieu de terrain Nigérian. Formé dans son pays, il file dès 95', à 20 piges, dans l'obscure championnat Serbe, Yougos à l'époque. Alors encore en guerre, c'est malgré tout là qu'il décide de lancer son professionnalisme. A Rad puis Obilic, il va se faire son trou, sans non plus être transcendant. Et après 2 ans chez les slaves, il va connaitre un gros coup de bol. Le MHSC verrait d'un bon oeil la signature d'un défenseur Serbe nommé Dzodic. Dans les bagages, le scout revient aussi avec notre comparse. certainement une promo. Pif paf pouf, le voilà qui signe à Montpellier. Sous Michel Mezy, il va connaitre une 12eme place de championnat. Mais on ne peut pas dire que ce soit grâce à lui. Car ses 4 petits matchs joués ont permis à tout le monde de comprendre que le bougre n'avait rien à faire en D1. Ciao l'artiste. Le voilà à Adanaspor, en Turquie. 10 matchs. Puis rien. Le néant. Uche Agbo, pas joli.

La coupe en brosse en pente. Pour que l'eau s'écoule.

vendredi 2 mai 2014

David M'BODJI

Aujourd'hui, après cette longue absence, on balance sur un attaquant formé à l'OM. Pas forcément un gage de qualité, mais le club sudiste à quand même sorti quelques perles. Bref. Le mec arrive en pleine époque bénie des achats opaques de bras cassés, en 2000. Donc peu de chance de sortir son épingle du jeu. Après deux ans, il file à Cannes, est titulaire, plante 6 pions. Bon, c'est sa première saison. En 2004, le voilà aux Lusitanos de Creteil. Et ses 2 années dans le Val de Marne vont être de très loin les meilleures de sa carrière. 21 caramels en 63 matchs, on croirait presque qu'il peu percer chez les grands. Malheureusement, c'est déjà finit pour le filou. Sous la liquette de Lorient, Strasbourg, Clermont, Cannes de nouveau, et Créteil encore, il ne trouvera jamais plus le chemin des filets. La loose est complète, et parachevée par sa mono-sélection -sans but, ça va de soi- avec le Sénégal. David M'Bodji, mais n'aime pas les buts.


Signal White Now. Pour des dents plus blanches
que blanches.

mercredi 9 avril 2014

Koji NAKATA

Aujourd'hui, pour les plus jeunes d'entres nous, voici un superbe phénomène. Japonais, il débute en pro en 98', année de gloire du foot français, au Kashima Antlers. Dans ce mythique club du pays des mangas, Koji se fait un nom, bien que déjà célèbre via ce cher Hidetoshi . Mais en 2005, tout bascule. Philippe Troussier est nommé entraîneur de l'OM, et le bougre trouve le moyen de ramener notre ami, arrière gauche, dans ses valoches. Il participera quand même à 15 matchs de ligue 1, se ridiculisant notamment à St Etienne, sur une bien triste action. Il filera à Bâle dès la saison suivante, y restera 2 ans et retournera à Antlers, boucler cette boucle bien trop grande pour lui. Koji Nakata, blague jaune.

Admirez le chef-d'oeuvre.


Un grand merci à l'OM pour nous faire vivre des moments frissons comme celui-là sur nos chères pelouses de ligue 1.

jeudi 6 mars 2014

Olivier TEBILY

Aujourd'hui, sur proposition, on se penche sur le cas d'un défenseur adepte du csc, comme le dit si justement l'inconnu qui à su le susurrer à votre serviteur. Ivoirien mais pas aveugle,  il débute en pro chez les chamois Niortais. Après 5 ans et 93 matchs, il s'envole à Chateauroux. A le Berrichonne, il ne jouera qu'un an. Car l'appel du foot anglais, de ses tacles à la glotte et ses tampons décolleurs  de plèvres, est trop fort. Un bref passage à Sheffield, puis le Celtic voit en lui le bon complément de sa défense centrale.  Notre homme conforte les dirigeants dans leur choix en claquant un très joli csc pour son 1er match. Très vite surnommé "bombscare" par les fans, il restera de 99' à 02' avant de se casser à Birmingham, où il jouera 83 matchs en 5 saisons. Sa dernière tentative, en MLS, se soldera par 4 matchs pour Toronto, et une belle blessure à la hanche. Terminé. Olivier Tebily, couz' d'un certain Drogba...

Tout est dans le regard...





Merci à toi l'Anonyme !!

mardi 4 mars 2014

Andreas ANDERSSON

Aujourd'hui, un attaquant. Suédois, il ne déroge pas à la règle de la blonditude. Et c'est avec sa raie sur le côté qu'il fait ses gammes pépère dans son pays enneigé. Après des débuts explosifs à Tidaholm, il claque 16 caramels entre 94' et 96' à Degefors. Peu mieux faire. Le voilà qui enfile le maillot de l'IFK Goteborg, goalé pour la dernière saison par l'immense Thomas Ravelli. Et là, le blondin cartonne : 39 matchs, 32 pétards. Et le coup de folie du Milan qui s'en suit. Il s'engage pour les Rossonero avec la ferme intention de faire oublié Nordhal et ses 221 filoches des années 50. Bon, il fera surtout oublié la filière suédoise pour de longues années grâce à son unique pion en 13 apparitions... Il décrochera quand même un contrat pour Newcastle la saison suivante, mais ne plantera que 4 misérables fois sur la saison. Terminé. Il retourne au bercail, à l'AIK, où il jouera de 99' à 2005. Andreas Andersson, n'est pas Sonny qui veut...

Je vous l'avait dit...

lundi 3 mars 2014

Angelo PAGOTTO

Aujourd'hui, un gardien. Tout commence en formation au Napoli. Ayant très vite compris que ce n'est pas au San Paolo qu'il sera pro, il file à la Pistoiese, en C1, où il lance sa carrière. Il s'engage dans la foulée avec la Samp', finaliste de la Coupe aux grandes oreilles 3 ans plus tôt. 24 match et un an plus tard, c'est pour le grand Milan qu'il signe un contrat. Tous les regards se penchent alors sur ce jeune loup titulaire au Milan qui a connu une ascension fulgurante. Mais c'est le début de la fin. A 23 ans, et après 8 matchs et de belles boulettes, il gagne le banc et perd a tout jamais sa place dans un grand club. La suite ne sera que petits clubs, bas fonds, banc et pour clore en beauté, une suspension de 8 piges pour Cocaïne. Il pourra toujours reprendre en 2015, à 41 balais. Angelo Pagotto, balo.

C'est sur que la coke, ça fait faire des trucs regrettables...
Et puis ce regard...

samedi 22 février 2014

Stéphane PORATO

Aujourd'hui, un gardien. Formé au Racing 92', il décroche son premier contrat dans le sud, à Toulon. Au milieu d'une belle brochette de mafieux, il joue quelques matchs et signe un an après à Monaco. Après avoir doublé Delaroche, Piveteau puis Barthez, il jette l'éponge. Et se tire à Marseille, où Courbis fait une spécial Courbissade et le bombarde titulaire en lieu et place d'un certain Kopke. Allez savoir... Il accroche la finale de l'Uefa, une deuxième place, une sélection, se seule, mais enchaîne par une vilaine saison qui le verra devenir le vilain du Vélodrome. Pas grave, il retourne à Monaco, orphelin de Fabulous Fab'. Mais les blessures, l'arrivée de Deschamps et ses sauts d'humeur font de lui un numéro 3 derrière Roma et Tony Sylva ! S'en suit un prêt à Creteil, un  transfert et une relégation à Ajaccio, et une découverte de la Liga à Alaves puis Xerez. Je vous passe son retour en DH et le beach soccer... Stephane Porato prend des pelles.

Profitez, ce fut assez rare dans la carrière de Stéphane !



samedi 15 février 2014

Sacha OPINEL

Aujourd'hui, après une longue attente, voici un nouveau crack. Originaire de Bourg Saint Maurice, il opte pour la défense footballistique malgré les skis omniprésents. Il intègre la formation de l'AS Cannes, puis celle de Lille. En  98', à 21 piges, le voilà qui enfile le maillot d'Ajaccio, pour ses débuts en pro. 7 matchs, et le voilà qui s’exile dans le pays qui le verra dérouler sa carrière : la Royaume de sa Majesté. Entre 99' et 2011, le bougre va changer 11 fois de liquette, empocher un F.A Trophy, se teindre en blond, tacler sur d’innombrables boueux terrains de la Perfide, le tout dans des clubs de 3eme, 4eme, 5eme et même 7eme zone. Mais il s'en tamponne, le couz' d'Eric Cantona. Sacha Opinel de pigeon.

La spéciale d'Opinel : la cisaille "couteau Suisse".
Désolé.






Merci pour ce bon garçon fournit par Steff. Chose promise, chose due ;)



samedi 4 janvier 2014

BONNE ANNÉE 2014

Bonjour les amis !!

On se remet de la mine du jour de l'an ?
On repart au boulot ?
On prend des bonnes résolutions ?
On espère que le RCL va remonter ?
On veut croire au maintient Sochalien ?
On pense que Falcao est venu à Monaco pour des congés (grassement) payés ?
On sait bien que si Ribery décroche le ballon d'or, c'est du vol ?

Pour tout cela, et bien plus encore, on sera fixé très vite. Et vous pourrez venir vous marrer un peu sur votre site préféré, qui figure dans vos favoris, sur lequel vous êtes abonnés Twitter, Facebook, G+ et autres comptoirs à vies.

Je vous souhaite une excellente année 2014, plein de réussite, de bonne santé et joies footballistiques !

Au fait, qui croit au retour de Cissé en Bleu (à part lui) ??
Peut-être pour mixer dans le bus ? ;)